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L’intérim compte-t-il pour la retraite ?

Vous êtes ici : Accueil » Foire aux questions Oui, l’intérim compte pour la retraite en France. Lorsque vous travaillez en intérim, votre rémunération fait l’objet de cotisations retraite au régime général des salariés, tout comme un CDI ou un CDD. Vous validez ainsi des trimestres pour la retraite de base et des points pour la retraite complémentaire Agirc-Arrco, à condition d’atteindre le montant minimum de cotisations requis par trimestre. L’agence d’intérim est responsable de prélever ces cotisations sur votre salaire brut et de les verser à l’URSSAF pour la retraite de base, tandis que la retraite complémentaire est généralement gérée par l’entreprise utilisatrice, selon les conventions collectives du secteur. Pour valider un trimestre, il faut avoir cotisé un certain montant, qui dépend du SMIC en vigueur (par exemple, environ 1 782 € minimum pour valider un trimestre en 2025). Il n’est pas possible de valider plus de 4 trimestres par an. Les missions d’intérim sont donc bien prises en compte dans le calcul de votre future retraite, au même titre que les autres formes d’emploi salarié. Questions sur le même sujet : Ai-je droit au chômage après une rupture ? L’intérim compte-t-il pour le chômage ? L’intérim compte-t-il dans l’ancienneté ? Questions dans la même catégorie : Voir la FAQ

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L’intérim compte-t-il pour le chômage ?

Vous êtes ici : Accueil » Foire aux questions Oui, les périodes d’intérim comptent pour le calcul des droits au chômage en France. Les missions d’intérim, qu’elles soient courtes ou longues, permettent de cumuler des droits à l’assurance chômage, à condition de remplir certains critères d’éligibilité. Conditions pour ouvrir des droits au chômage avec l’intérim Les intérimaires cotisent à l’assurance chômage comme tout autre salarié, via des prélèvements sur leur salaire effectués par l’agence d’intérim. Pour bénéficier de l’allocation chômage (ARE), il faut avoir travaillé au moins 130 jours ou 910 heures (environ 6 mois) sur les 24 derniers mois (ou 36 mois si vous avez 53 ans ou plus). La perte d’emploi doit être involontaire (fin de mission, non-renouvellement, etc.), et il faut s’inscrire à France Travail (anciennement Pôle emploi) dans les 12 mois suivant la fin du contrat d’intérim. Calcul des droits France Travail prend en compte les salaires perçus lors des missions d’intérim pour calculer le montant de l’allocation chômage. Toutes les missions d’intérim réalisées dans la période de référence (24 ou 36 mois selon l’âge) sont prises en compte pour atteindre le seuil d’heures ou de jours travaillés nécessaires. Les périodes sans contrat (intermissions) ne sont pas comptabilisées comme jours travaillés. Cumul intérim et chômage Il est possible de cumuler des revenus d’intérim avec l’allocation chômage, sous certaines conditions, notamment si les revenus ne dépassent pas un certain plafond. Pendant une mission d’intérim, l’allocation chômage peut être suspendue, puis réactivée à la fin de la mission, avec un ajustement du montant en fonction des revenus perçus pendant l’intérim. En résumé : Les périodes d’intérim ouvrent bien des droits au chômage, à condition de respecter les critères de durée et d’inscription, et sont prises en compte dans le calcul de l’indemnisation. Questions sur le même sujet : Ai-je droit au chômage après une rupture ? L’intérim compte-t-il pour la retraite ? L’intérim compte-t-il dans l’ancienneté ? Questions dans la même catégorie : Voir la FAQ

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Quel est le délai de carence en intérim sur 18 mois ?

Vous êtes ici : Accueil » Foire aux questions Délai de carence en intérim après 18 mois Définition et principe Le délai de carence en intérim est une période obligatoire pendant laquelle une entreprise ne peut pas recruter un nouvel intérimaire ou signer un nouveau CDD sur le même poste, immédiatement après la fin d’une mission d’intérim, afin d’éviter l’enchaînement abusif de contrats courts sur un même poste. Calcul du délai de carence Si la mission d’intérim (renouvellements inclus) a duré 14 jours ou plus, le délai de carence est égal à un tiers de la durée totale du contrat terminé. Pour une mission de 18 mois (soit environ 547 jours calendaires), le délai de carence sera donc d’un tiers de cette durée, soit environ 6 mois (environ 182 jours d’ouverture de l’entreprise). Exemples concrets Après une mission d’intérim de 18 mois sur un même poste, l’entreprise doit attendre environ 6 mois avant de pouvoir réembaucher un intérimaire ou un salarié en CDD sur ce même poste. Exceptions Certaines situations échappent à l’application du délai de carence, notamment : Remplacement d’un salarié absent (maladie, congé maternité, etc.) Emplois saisonniers Dispositions particulières prévues par des accords collectifs ou de branche. Résumé Après 18 mois consécutifs d’intérim sur un même poste, l’entreprise doit respecter un délai de carence d’environ 6 mois avant de pouvoir proposer un nouveau contrat court sur ce poste, sauf exceptions prévues par la loi ou les conventions collectives. Questions sur le même sujet : Questions dans la même catégorie : Voir la FAQ

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Est-ce que l’intérim paye bien ?

Vous êtes ici : Accueil » Foire aux questions L’intérim peut offrir une rémunération attractive, notamment grâce aux primes spécifiques (indemnité de fin de mission et indemnité de congés payés) qui s’ajoutent au salaire de base. En 2025, le salaire médian d’un intérimaire en France est d’environ 26 294 € par an (soit 14,45 € brut/heure), avec des variations selon l’expérience et le secteur : les débutants commencent à 22 801 €, les profils expérimentés peuvent atteindre 38 650 €. Le salaire minimum en intérim est aligné sur le SMIC (11,88 € brut/heure en 2025), mais de nombreux métiers (notamment dans le BTP ou la gestion de paie) proposent des rémunérations supérieures, parfois entre 1 900 € et 2 500 € brut mensuels, voire plus selon la spécialisation et la région. À ces montants s’ajoutent l’indemnité de fin de mission (10 % du brut total) et l’indemnité de congés payés (également 10 %), ce qui augmente sensiblement la rémunération effective par rapport à un poste équivalent en CDI classique. En résumé, l’intérim peut bien payer, surtout pour des missions qualifiées ou dans des secteurs en tension, et grâce aux primes spécifiques qui viennent s’ajouter au salaire de base. Questions sur le même sujet : Quand les agences paient-elles les intérimaires ? Comment fonctionne le panier repas ? À combien s’élève la prime de fin de contrat ? Questions dans la même catégorie : Voir la FAQ

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À combien s’élève la prime de fin de contrat ?

Vous êtes ici : Accueil » Foire aux questions La prime de fin de contrat en intérim, appelée indemnité de fin de mission (IFM) ou prime de précarité, correspond en règle générale à 10% de la rémunération brute totale perçue pendant la mission, renouvellements inclus. Exemple de calcul : Si vous avez travaillé 100 heures au SMIC 2025 (11,88 € brut/heure), votre salaire brut sera de 1 188 €. L’IFM sera donc de 118,80 € (1 188 € x 10 %). À retenir : Cette prime s’ajoute à votre dernier salaire et figure sur votre dernier bulletin de paie. Elle est imposable et soumise aux cotisations sociales. Elle n’est pas due si, par exemple, vous signez un CDI avec l’entreprise utilisatrice à la fin de la mission, en cas de rupture anticipée à votre initiative, faute grave, force majeure, contrat saisonnier, ou mission de formation148. Dans certains secteurs ou selon certaines conventions collectives, le taux peut exceptionnellement être supérieur à 10 % (jusqu’à 12 % ou 15 %). En résumé, sauf exception, la prime de fin de contrat d’intérim est de 10 % de la rémunération brute totale perçue pendant la mission. Questions sur le même sujet : Quand les agences paient-elles les intérimaires ? Comment fonctionne le panier repas ? Est-ce que l’intérim paye bien ? Questions dans la même catégorie : Voir la FAQ

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Comment fonctionne le panier repas en interim ?

Vous êtes ici : Accueil » Foire aux questions Définition et principe Le panier repas en intérim, aussi appelé indemnité de panier ou prime de repas, est une allocation versée aux intérimaires pour compenser les frais de repas engagés lorsqu’ils ne peuvent pas rentrer à leur domicile pour déjeuner. Cette indemnité est accordée si l’intérimaire ne bénéficie pas d’un restaurant d’entreprise, doit se déplacer pour des raisons professionnelles, ou travaille à des horaires décalés rendant l’accès à la cantine impossible. Conditions d’attribution L’intérimaire doit être dans une situation où il ne peut pas rentrer chez lui pour manger et ne bénéficie pas d’un repas fourni ou remboursé par l’employeur. Le cumul avec les tickets restaurant n’est généralement pas possible, sauf exception. L’accès à cette indemnité dépend aussi de la convention collective et du contrat de mission. Montants en 2025 7,40 € : repas pris sur le lieu de travail. 10,30 € : repas pris en dehors des locaux de l’entreprise, même sans aller au restaurant. 21,10 € : repas pris dans un restaurant lors d’un déplacement professionnel. Ces montants sont exonérés de charges fiscales dans la limite fixée chaque année ; au-delà, l’excédent est soumis à cotisations sociales. Modalités de versement L’indemnité de panier repas est généralement versée en même temps que le salaire et apparaît sur le bulletin de paie. Pour en bénéficier, il peut être nécessaire d’en informer l’agence d’intérim, qui précisera les modalités de déclaration ou de remboursement. Résumé Le panier repas en intérim est une indemnité forfaitaire visant à couvrir les frais de repas des intérimaires ne pouvant pas se restaurer à domicile, sous conditions précises, et selon des montants plafonnés et fixés chaque année. Questions sur le même sujet : Quand les agences paient-elles les intérimaires ? À combien s’élève la prime de fin de contrat ? Est-ce que l’intérim paye bien ? Questions dans la même catégorie : Voir la FAQ

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Quand les agences paient-elles les intérimaires ?

Vous êtes ici : Accueil » Foire aux questions Calendrier de paiement La plupart des agences d’intérim paient les intérimaires une fois par mois, généralement entre le 9 et le 15 du mois suivant la période travaillée. Par exemple, chez Option Intérim, le paiement est effectué entre le 9 et le 12 du mois suivant par virement bancaire. Selon la banque, il peut y avoir un léger délai avant que le salaire n’apparaisse sur le compte du salarié. Modalités de paiement Le paiement se fait principalement par virement bancaire, mais il est parfois possible de recevoir un chèque ou, pour les petits montants (moins de 1500 € nets), un paiement en espèces à la demande du salarié. Pour garantir le paiement, il est essentiel de fournir un RIB à l’agence dès la signature du contrat. Acomptes Les intérimaires peuvent demander un acompte sur salaire, généralement versé à la fin du mois en cours, sous réserve d’avoir travaillé un minimum d’heures. L’acompte ne peut pas dépasser 70% du montant total des heures déjà effectuées. Chez Option Intérim, vous pouvez demander un acompte chaque semaine, à condition de le faire 24h avant pour un versement le mercredi. Réglementation La date exacte de paiement est fixée librement par chaque agence, mais la loi impose une périodicité minimale : au moins une fois par mois pour les intérimaires mensualisés, et au moins deux fois par mois pour les non-mensualisés (avec un maximum de 16 jours d’intervalle). À la fin de chaque mission, l’intérimaire reçoit également l’indemnité de fin de mission et l’indemnité compensatrice de congés payés, en même temps que le dernier salaire. Résumé En intérim, le paiement du salaire intervient en général entre le 9 et le 15 du mois suivant la période travaillée, par virement bancaire, et il est possible de demander un acompte en cours de mois. La date précise dépend de chaque agence, mais la loi garantit un paiement régulier et au moins mensuel. Questions sur le même sujet : Comment fonctionne le panier repas ? À combien s’élève la prime de fin de contrat ? Est-ce que l’intérim paye bien ? Questions dans la même catégorie : Voir la FAQ

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Peut-on faire un abandon de poste en interim ?

Vous êtes ici : Accueil » Foire aux questions Oui, il est possible de faire un abandon de poste en intérim, mais cela a des conséquences spécifiques et potentiellement lourdes. Définition et procédure L’abandon de poste en intérim correspond à une absence injustifiée et non autorisée de l’intérimaire pendant sa mission, sans prévenir ni fournir de motif valable à l’agence d’intérim ou à l’entreprise utilisatrice. En cas d’absence injustifiée, l’agence d’intérim tente généralement de vous contacter pour obtenir des explications. Si vous ne justifiez pas votre absence sous 48 heures, une lettre de mise en demeure vous est envoyée pour vous demander de reprendre votre poste ou de fournir un justificatif. Si vous ne répondez pas ou ne revenez pas, l’agence peut constater l’abandon de poste et engager une procédure disciplinaire pouvant aller jusqu’à la rupture anticipée du contrat pour faute grave. Conséquences L’abandon de poste en intérim est assimilé à une rupture unilatérale du contrat de mission, souvent considérée comme une faute grave. Vous risquez de perdre l’indemnité de fin de mission (IFM). Si la rupture du contrat est jugée abusive (hors période d’essai, sans motif légitime, et sans embauche en CDI ailleurs), vous pouvez être condamné à verser des dommages et intérêts à l’agence d’intérim. Depuis la réforme de 2023, l’abandon de poste peut être considéré comme une démission, ce qui vous prive du droit aux allocations chômage, sauf si vous justifiez d’un motif légitime. Cela peut aussi nuire à votre réputation professionnelle auprès des agences d’intérim et des entreprises utilisatrices, limitant vos futures opportunités de mission. Motifs légitime Certains motifs d’absence ne sont pas considérés comme un abandon de poste, par exemple : Certains motifs d’absence ne sont pas considérés comme un abandon de poste, par exemple : Consultation médicale urgente (avec justificatif) Droit de retrait en cas de danger grave et imminent Droit de grève Refus d’exécuter une tâche illégale ou dangereuse Refus d’une modification substantielle du contrat de mission Conclusion L’abandon de poste en intérim est possible, mais il expose à des sanctions disciplinaires, à la perte d’avantages financiers, à l’impossibilité de toucher le chômage, et à une dégradation de votre image professionnelle. Il est donc fortement conseillé de privilégier une rupture de contrat formalisée et d’en discuter avec votre agence d’intérim avant toute décision. Questions sur le même sujet : Quels sont les droits d’un intérimaire ? Quels sont les avantages et inconvénients du CDI Intérimaire ? Rupture du contrat d’intérim par le salarié : quelles règles ? Questions dans la même catégorie : Voir la FAQ

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Rupture du contrat d’intérim par le salarié : quelles règles ?

Vous êtes ici : Accueil » Foire aux questions Un salarié intérimaire peut rompre son contrat d’intérim (contrat de mission) avant son terme uniquement dans certains cas prévus par la loi : Pendant la période d’essai : le salarié peut mettre fin à sa mission sans avoir à justifier d’un motif particulier. En cas d’embauche en CDI : la rupture est possible si le salarié justifie d’une embauche en contrat à durée indéterminée, contrat ou promesse d’embauche à l’appui. En cas de force majeure : un événement imprévisible, irrésistible et extérieur rendant impossible la poursuite du contrat. En cas de faute grave de l’agence d’intérim : par exemple, non-paiement du salaire. Procédure à suivre Notification : Le salarié doit prévenir l’agence d’intérim, de préférence par écrit, en précisant le motif de la rupture anticipée. Préavis : Un préavis peut être exigé selon la durée de la mission et ce qui est prévu dans le contrat. Les modalités sont généralement précisées dans le contrat d’intérim. Conséquences d’une rupture hors cadre légal Si le salarié rompt son contrat d’intérim pour un motif non prévu par la loi (autre que ceux listés ci-dessus), l’agence d’intérim peut réclamer des dommages et intérêts correspondant au préjudice subi. Le montant est fixé par le Conseil de prud’hommes si nécessaire. Documents remis à la fin du contrat À la fin du contrat, l’employeur remet au salarié : Certificat de travail Attestation France Travail (Pôle emploi) Reçu pour solde de tout compte Résumé des motifs et risques Motif de rupture anticipée Autorisé sans indemnité ? Préavis requis ? Risque pour le salarié Période d’essai Oui Oui (souvent) Aucun Embauche en CDI Oui Oui (souvent) Aucun Force majeure Oui Non Aucun Faute grave de l’agence d’intérim Oui Non Aucun Autre motif Non – Dommages et intérêts À retenir : La rupture anticipée du contrat d’intérim par le salarié est strictement encadrée. En dehors des motifs légaux, elle expose le salarié au paiement de dommages et intérêts à l’agence d’intérim. Questions sur le même sujet : Quels sont les droits d’un intérimaire ? Quels sont les avantages et inconvénients du CDI Intérimaire ? Peut on faire un abandon de poste en interim ? Questions dans la même catégorie : Voir la FAQ

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Quels sont les avantages et inconvénients du CDI Intérimaire ?

Vous êtes ici : Accueil » Foire aux questions Avantages du CDI Intérimaires Stabilité de l’emploi Le CDI intérimaire (CDII) offre une sécurité d’emploi supérieure à celle de l’intérim classique, car il s’agit d’un contrat à durée indéterminée. Le salarié bénéficie d’une rémunération minimale garantie, même pendant les périodes sans mission, ce qui lui assure une stabilité financière. Accès facilité au logement et au crédit Grâce à la stabilité du contrat, il est plus facile pour le salarié d’obtenir un logement ou un prêt bancaire. Diversité des missions Le CDII permet d’acquérir une expérience variée en travaillant dans différentes entreprises, ce qui enrichit le parcours professionnel.. Formation et accompagnement Durant les périodes d’intermission, le salarié peut bénéficier de formations qualifiantes proposées par l’agence d’intérim. Gestion administrative simplifiée Le salarié n’a plus à gérer l’alternance entre périodes de travail et de chômage, ce qui simplifie sa situation administrative. Inconvénients du CDI Intérimaires Obligation d’accepter les missions Le salarié est tenu d’accepter les missions proposées par l’agence dès lors que la rémunération horaire est au moins égale à 70% de celle de la précédente mission, ce qui réduit sa liberté de choix par rapport à l’intérim classique. Disponibilité permanente En l’absence de mission, le salarié doit rester à la disposition de l’agence et ne peut pas utiliser ce temps pour des activités personnelles. Absence de prime de fin de mission Contrairement à l’intérim classique, le salarié en CDII ne perçoit pas d’indemnité de fin de mission (prime de précarité), ce qui peut entraîner une baisse de revenus pour ceux qui enchaînent les missions courtes. Moins de flexibilité géographique Le salarié peut être amené à se déplacer fréquemment pour ses missions, ce qui peut être contraignant pour ceux qui souhaitent rester dans une région précise. Droits parfois inférieurs à ceux d’un CDI classique Certains avantages du CDI classique (primes, jours fériés supplémentaires, protections en matière de licenciement) ne sont pas toujours accordés aux salariés en CDII. Gestion des congés complexe Les salariés rencontrent parfois des difficultés pour poser leurs congés payés, et la gestion de ces derniers peut être moins souple qu’en CDI classique. Synthèse Le CDI intérimaire combine la stabilité d’un CDI avec la diversité de l’intérim, mais impose une disponibilité accrue et une moindre liberté dans le choix des missions. Il convient particulièrement à ceux qui recherchent une sécurité financière tout en souhaitant varier leurs expériences professionnelles, mais il peut décevoir ceux qui privilégient l’autonomie ou la stabilité géographique. Questions sur le même sujet : Quels sont les droits d’un intérimaire ? Rupture du contrat d’intérim par le salarié : quelles règles ? Peut on faire un abandon de poste en interim ? Questions dans la même catégorie : Voir la FAQ

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